CALCÉDOINE : propriétés
L’origine de son nom vient de la ville antique de Khalkedon sur le Bosphore.


Ses couleurs varient du gris laiteux bleuté au bleu ciel avec quelques circonvolutions blanches, parfois mauve pâle (calcédoine lilas). On la rencontre sous différentes apparences notamment en couches fines de microcristaux, en plaques polies à dessins auréolés opaques, en fragments bruts et galets roulés au tonneau, parfois translucides.
Les Amérindiens voyaient en elle les nuages de divination. Dans le Bouddhisme tibétain, c’est le côté Yin de l’esprit du Bouddha. La Chrétienté l’assimile à la Vierge Marie. En Inde, c’est l’âme du sage. Le Shintoïsme voit en elle les circonvolutions de l’esprit. Symboliquement, on peut dire que la calcédoine est la pierre de la sérénité et de la modération.
La calcédoine adoucit les inflammations du larynx, facilite la qualité d’expression, estompe les enrouements, fluidifie les bégaiements (chakra de la gorge). Au Chakra du troisième œil, elle protège des empoisonnements et des addictions (tabac, alcool, drogue…).
Pierre d’une grande douceur, la calcédoine est la fumée du bâtonnet d’encens qui s’élève vers le ciel. Très positive, elle propage des émotions paisibles, apaise les chagrins, guérit les surmenés et les agités (chakra du troisième oeil ). Elle est recommandée aux personnes agressives ou irritables car elle apaise l’expression, s’oppose à l’ironie et à la provocation verbale (chakra de la gorge). La calcédoine convient aussi aux timides, aux personnes réservées en facilitant leur capacité d’expression. Elle est innocence dans les travaux de recherche spirituels (variété lilas clair et translucide au chakra du sommet) et permet d’aborder les plus hautes sphères de la spiritualité sans crainte, sans stress.
La cacédoine est recommandée à toutes les professions dans lesquelles la qualité de la parole est fondamentale, lorsqu’il s’agit de convaincre son interlocuteur dans la douceur, la justesse d’expression et la sérénité.
Extraits du Dictionnaire de la Lithothérapie de Reynald Georges Boschiero – © Ambre éditions 2006.
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